Les sources d’énergie verte ont un impact beaucoup moins important sur l’environnement que les sources d’énergie traditionnelles. Sa nomination découle de la réflexion qui sous-tend des termes tels que « espace vert », « ceinture verte » et, oui, « greenpeace », qui sont tous issus de la main verte. Être l’un d’entre eux, c’est s’impliquer, s’intéresser ou s’investir dans la verdure de l’environnement.
L’impact de l’énergie verte dans notre environnement actuel
L’énergie verte ne pollue pas l’environnement. Elle équilibre naturellement l’environnement, c’est pourquoi elle est appelée « énergie verte ». L’énergie verte est l’énergie dérivée de sources propres produisant une pollution minimale et comprend l’énergie solaire photovoltaïque, l’énergie hydroélectrique, l’énergie éolienne, les biocarburants et la géothermie.
Des investissements accrus dans la recherche et le développement technologique, des cadres réglementaires favorables, une sensibilisation accrue aux questions de sécurité énergétique et aux préoccupations environnementales, entre autres, alimentent la croissance de la demande d’énergie propre et verte.
L’énergie verte connaîtra la croissance la plus rapide, avec un taux de croissance annuel moyen de 9,4 %. Le marché de l’énergie verte en Asie-Pacifique devrait connaître la croissance la plus rapide, avec un taux de croissance annuel moyen de 10,3 %. En fonction du type d’énergie, le marché mondial de l’énergie verte a été segmenté en énergie solaire photovoltaïque (PV), énergie éolienne, biocarburants, énergie hydroélectrique et énergie géothermique.
Il est en fait assez courant dans certains cercles d’entendre l’étiquette bleue lancée à propos des produits propres/renouvelables et des sources d’eau (la plupart du temps, uniquement l’océan). Cette étiquette est probablement liée à la baleine bleue, l’imo.